Stefanie Siess
Doctorant.ePôle HistoireLaboratoire interdisciplinaire d’études sur les réflexivités - Fonds Yan Thomas
stefanie.siess@zegk.uni-heidelberg.de
Champs de recherche
Histoire des mentalités et des représentations sociales – Histoire des émotions - L’Occupation allemande de la France (1940-1944) – La zone d’occupation française du Sud-Ouest de l’Allemagne (1945-1955) – Ego-documents comme sources de l’intime – Comparaisons et relations franco-allemandes
History of mentalities and social representations - History of emotions - German occupation of France (1940-1944) - French zone of occupation in South West Germany (1945-1955) - Ego-Documents as sources - Franco-German relations and comparisons
Présentation
Stefanie Siess est doctorante au LIER-FYT sous la direction d'Emmanuel Saint-Fuscien et de Régis Schlagdenhauffen en cotutelle avec l’Université d’Heidelberg (directeur : Prof Edgar Wolfrum). Sa thèse analyse des représentations sociales franco-allemandes pendant l’occupation alliée en Allemagne (1945-1955). L’analyse est basée sur les « ego-documents » de la zone occupée française du Sud-Ouest de l’Allemagne. Le projet est financé par la fondation Friedrich Ebert.
Ella a fait des études d’histoire et des études germaniques à Paris et à Heidelberg, sanctionnées en 2018 par un double master franco-allemand avec un mémoire intitulé « Soi-même et l’Autre – représentations de la France et des Français par les occupants allemands (1940-1944) ». Pendant ses études, elle a travaillé comme auxiliaire et collaboratrice scientifique à la chaire d’Histoire contemporaine de l’Université d’Heidelberg.
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Stefanie Siess studied History and German studies in Heidelberg and Paris. In October 2018, she started her PhD about “Franco-German Social Representations during Occupation (1945-1955)”, a cotutelle between the University of Heidelberg and the EHESS Paris, after completing a bilingual double Master’s degree within the same Franco-German program (supervisors: Prof. Edgar Wolfrum, Emmanuel Saint-Fuscien, Régis Schlagdenhauffen). The project is financed by the Friedrich Ebert Foundation. During her studies, she worked as a research assistant for the chair of contemporary history in Heidelberg.